VanCleef New pas cher ⭐ Neuf et occasion Meilleurs prix du web Promos de folie 3% remboursés minimum sur votre commande !

ESCAPE FROM NEW YORK Film américain John Carpenter, 1981 Kurt Russell, Lee Van Cleef, Ernest Borgnine, Isaac Hayes Affiche française, 1981 Illustrateur René Ferracci Format 120×160 cm cm / 47×63 in Imprimeur Lalande-Courbet. Wissous. Non entoilée / Bon état NON LINENBACKED / Good condition

Donc bon, New York 1997, ça n'a heureusement pas encore l'air pour tout de suite. Cette noirceur, cette tension entre Russel et Lee Van Cleef dans son bureau. Une de mes scènes préférées

Titre original Escape From New-York Rating Origine États-Unis/Royaume-Uni Réalisateur John Carpenter Distribution Kurt Russel, Lee Van Cleef, Donald Pleasance, Ernest Borgnine, Isaac Hayes, Adrienne Barbeau… Genre Action Date de sortie 24 juin 1981 Le Pitch En 1988, suite à une explosion de criminalité aux États-Unis, l’île de Manhattan est devenue une ville-prison. En 1997, alors que le président des États-Unis se rend à une importante conférence, son avion Air Force One est détourné par des terroristes. Le président parvient à s’enfuir en s’éjectant à bord d’une capsule de survie qui s’écrase au cœur de Manhattan. Il est aussitôt retenu en otage par les prisonniers de l’île. Le responsable de la sécurité, Bob Hauk, fait alors appel à Snake Plissken, un redoutable hors-la-loi et lui donne 24 heures pour sauver le président en échange de sa grâce. La Critique Écrit dans les années 70, encore sous le choc de l’affaire du Watergate, le scénario du premier volet du néo-western de Carpenter effraie les studios, qui le trouvent trop violent et étrange. Il faut dire qu’il s’inspire, entre autres, des villes-prisons des Khmers rouges, qui ont pris le pouvoir six ans plus tôt. D’un point de vue cinématographique, le film Un Justicier dans la Ville lui sert de référence, essentiellement sur l’aspect formel le côté jungle urbaine. De cette histoire anxiogène et prémonitoire, Carpenter fait un film de genre pétri de second degré et de références. Très influencé par le western, il fait un choix des plus orientés en donnant l’un des rôles principaux à Lee Van Cleef, grande figure de ce genre. Le film est en soi un hommage vibrant à ce style, bien qu’il prenne place dans un contexte orienté Quant à certains seconds, ils portent des noms pour le moins évocateurs Cronenberg ou encore Romero. Encore une fois, Carpenter mélange les genres créant une atmosphère unique et sombre, tout en distillant un certain second degrés. Cette alchimie reposant aussi sur la récurrence des situations à l’échelle du film, puis du diptyque . Le personnage de Snake Plissken, incarné par un Kurt Russell soucieux de faire oublier son passé dans certaines comédies made in Disney », devient l’emblématique incarnation archétypale du héros du film d’action. Il servira d’ailleurs de source d’inspiration au héros de la série de jeux vidéos Metal Gear Solid Solid Snake. Si les effets-spéciaux ont assez mal vieillis pour l’anecdote, ils sont en partie l’œuvre d’un certain James Cameron, crédité sous le pseudonyme de Jim Cameron, la mise en scène reste assez inventive et nous offre de très bons plans. Le scénario fera des émules, qu’il s’agisse de l’environnement, des personnages ou du contexte. On trouvera ainsi un certain nombre de points communs entre ce film et le quatrième volet de la saga Resident Evil véritable hommage aux films de genre, et plus particulièrement au cinéma de Carpenter. Carpenter donnera suite à ce film en 1996 avec Escape From Los Angeles 2013 en mais je laisse Gilles vous en dire plus. Sacha Lopez Déposer un commentaire

Newyork 1997 - escape from new york : photo d'exploitation cinématographiques - format: 21x27 cm - de John Carpenter, Avec Kurt Russell, Lee Van Cleef, Ernest Borgnine, donald pleasence - 1981 pas cher
News et dossiers Photos Casting Date de sortie 24/06/1981 Au cinéma 01h39 Titre original Escape from New-York Réalisé par John Carpenter Avec Kurt Russell , Lee Van Cleef , Ernest Borgnine , Donald Pleasence , Isaac Hayes , Season Hubley , Harry Dean Stanton , Adrienne Barbeau , Debra Hill , John Carpenter , Tom Atkins , Charles Cyphers Genre Science-fiction, Action, Aventures, Thriller Nationalité États-Unis, Royaume-Uni Science-fiction Action Aventures Thriller Synopsis New-York 1997 1997, Manhattan est devenue une ville pénitentiaire. Un héros de guerre, condamné pour grand banditisme, doit y purger sa peine à vie, quand il se voit confier la mission d'aller récupérer le président des États-Unis dont l'avion, pris en otage par des terroristes, s'est écrasé. Il a vingt-quatre heures. Au-delà, un petit explosif judicieusement introduit dans sa veine jugulaire explosera. S'il réussit, il sera amnistié. critique New-York 1997 New-York 1997 critique À partir d'un scénario aussi simple qu'efficace, Carpenter signait avec New York 1997 un western urbain aux réminiscences cinéphiliques aujourd'hui évidentes. Critique - Film 10/08/2007 dernières news et dossiers New-York 1997 Avant Les Gardiens de la Galaxie 2 3 films qui ont forgé la légende Kurt Russell Depuis que James Gunn a officialisé la présence de Kurt Russell au casting des Gardiens de la Galaxie 2, les esprits de milliers de cinéphiles s’échauffent. Dossier - Film 28/04/2017 New-York 1997 John Carpenter veut le retour de Snake Plissken pour deux suites John Carpenter, le réalisateur du mythique New-York 1997, a avoué que son personnage Snake Plissken mériterait bien un retour dans une ou deux suites. Actualité - Film 27/07/2021 New-York 1997 le réalisateur du remake du film culte de Carpenter dit avoir trouvé l'acteur parfait Carpenter n'a jamais été autant à la mode et les remakes et reboots de ses films se répandent comme une traînée de poudre dans le cinéma actuel. Actualité - Film 18/02/2020 Voir toutes les news et dossiers sur New-York 1997 dernières photos New-York 1997 Voir toutes les photos de New-York 1997

Newyork 1997 a eu droit à une suite, Los Angeles 2013. Le personnage de Snake Plissken, lui, est entré dans la culture populaire : on le retrouve dans plusieurs jeux vidéo, depuis les années 90.

New York 1997 Escape from New York, 1981 est certainement l’un des films les plus iconiques des années 80, et un grand succès populaire du cinéma d’action qui confirma le talent de John Carpenter, trois ans après Halloween. Ce film d’anticipation imagine l’île de Manhattan transformée en pénitencier à haute sécurité, dans une Amérique devenue un régime autoritaire et policier, en proie à un taux record de criminalité. Un célèbre ennemi public, Snake Plissken, accepte en échange de sa grâce une mission commando ramener vivant le Président des États-Unis, après le crash dans Manhattan de l’avion Air Force One détourné par un groupuscule révolutionnaire. Il n’a que 24 heures pour y parvenir. Commence alors une course contre la montre dans une ville fantôme peuplée de hordes de criminels pour la plupart retournés à l’état sauvage, sur laquelle règne le Duc, redoutable chef de gang. New York 1997 se présente sous la forme d’un compte à rebours qui se déroule entièrement la nuit. Carpenter respecte l’unité de lieu et de temps et livre un film sans aucun temps mort. L’action non-stop se mêle à une utilisation parfaite des décors urbains emblématiques de l’île de Manhattan tombée en ruines le World Trade Center sur le toit duquel Plissken atterrit en planeur, le Grand Central Station transformé en repaire du Duc, les différents ponts minés pour empêcher les prisonniers de s’enfuir… Avec l’aide du jeune James Cameron en charge des modèles réduits et des effets spéciaux Carpenter parvient à créer des plans d’ensembles spectaculaires de ce Manhattan QHS, et donne à son film une ampleur visuelle extraordinaire malgré un budget qui n’est pas celui d’une superproduction de science-fiction. Cela confère au film une ambiance de série B de luxe. Le talent de Carpenter à composer des images dynamiques dans le format large Panavision, son sens du rythme et du montage ne sont pas étranger à cette étonnante réussite esthétique. Après avoir lancé la mode du slasher » et remis au goût du jour un cinéma fantastique atmosphérique avec Fog, Carpenter lance la mode de la science-fiction post-apocalyptique, en même temps que George Miller Mad Max en 1979, et sa suite en 1982. Le film s’inscrit dans la tradition d’un cinéma futuriste catastrophiste, où les plaies de l’époque contemporaine pollution, insécurité, chômage sont décuplées jusqu’à décrire un monde invivable. Mais contrairement à Soleil vert de Richard Fleischer, Carpenter opte pour un style emprunté à la bande dessinée, à la littérature pulp et surtout au western italien, principale référence de New York 1997. Carpenter prend aussi un alibi futuriste pour exagérer la violence urbaine et un état de déréliction morale déjà exprimée dans des grands films new-yorkais de la décennie précédente comme Un justicier dans la ville de Michael Winner ou Les Guerriers de la nuit de Walter Hill. La projection dans un futur proche encourage Carpenter à exagérer la dimension carnavalesque de son film, avec la description d’une jungle humaine crasseuse et une esthétique de la récupération propice à des outrances vestimentaires et décoratives. Kurt Russell s’amuse dans la défroque de Snake Plissken et démontre des talents d’imitateur vocal en reprenant les intonations de Clint Eastwood dans les westerns de Sergio Leone. Autour de lui, Carpenter réunit une belle distribution de character actors » qui sont autant d’hommages au cinéma de Sam Peckinpah Ernest Borgnine, Harry Dean Stanton et Sergio Leone Lee Van Cleef. On a souvent loué les qualités de New York 1997 assimilé à un pur exercice de style en oubliant que le projet de Carpenter s’inscrit dans un contexte politique qui le relit à d’autres films contestataires de la fin des années 70 et du début des années 80. La première mouture du scénario de Carpenter date de 1976 et fut écrit dans la foulée du scandale du Watergate. Le portrait peu flatteur que dresse Carpenter du président des Etats-Unis interprété par Donald Pleasence est vraisemblablement inspiré par Richard Nixon. La description de Manhattan en gigantesque pénitencier à ciel ouvert n’est pas sans évoquer l’évacuation de la capitale du Cambodge, Phnom Pen, transformée en prison d’état par les Khmer rouges, six ans avant la sortie du film. La mission de sauvetage racontée par le film fait également écho au fiasco de l’opération commando Eagle Claw » d’avril 1980 au cours de laquelle des soldats américains échouèrent à libérer les otages détenus en Iran. Le mauvais esprit anarchisant de Snake Plissken, son mépris pour toute forme d’autorité rejoint celui de son créateur. A l’instar des films de George A. Romero et David Cronenberg réalisés à la même époque, New York 1997 propose un commentaire critique sur la société nord-américaine et les risques de dérive fascisante. Carpenter allait retrouver une verve subversive encore plus agressive en réalisant Invasion Los Angeles The Live en 1988. Reprise en salles le mercredi 19 décembre, distribué par Splendor Films. Disponible également en Steelbook 4K Ultra HD + 2 BD et en Blu-ray haute définition, édité par Studiocanal.
CompraNew york 1997. SPEDIZIONE GRATUITA su ordini idonei SPEDIZIONE GRATUITA su ordini idonei New york 1997: Amazon.it: Kurt Russell, Lee Van Cleef, Ernest Borgnine, Donald Pleasence, Isaac Hayes, Harry Dean Stanton, Adrienne Barbeau, Season Hubley, Tom Atkins, Charles Cyphers, John Carpenter, Kurt Russell, Lee Van Cleef: Film
Revoir New York 1997 en 2020 c'est s'offrir un petit plaisir coupable, remonter le temps pour découvrir un passé qui n'a finalement jamais existé, replonger aux sources du mythe Snake Plissken, retrouver le duo John Carpenter-Kurt Russell ainsi que toute une magnifique bande de bad boys devant la caméra, le temps d'une histoire probablement connue de tous l'avion du président des États-Unis, le célèbre Air For One, est détourné par des terroristes et se crashe sur l'une des tours du World Trade Center ; las, Manhattan est devenu une prison à ciel ouvert, d'où personne ne peut sortir vivant, alors, pour le libérer, on envoie un ancien héros devenu malfaiteur. Il a vingt-quatre heures pour ramener le président et, accessoirement, sauver sa peau. C'est brut, c'est simple. C'est une sorte de western d'anticipation, urbain et noir, où rien n'est superflu. John Carpenter va à l'essentiel dans une intrigue taillée à l'os, où les décors apocalyptiques nous plongent dans un monde en pleine régression, peuplé de tribus bariolées et peu fréquentables, un peu Warriors, un peu Mad Max. Le casting est parfait Lee Van Cleef en super flic vicieux, Ernest Borgnine en chauffeur de taxi gouailleur et généreux, Isaac Hayes en imposant chef de meute, Harry Dean Stanton en ex-complice avide de rédemption, Donald Pleasance en président ridiculisé et revanchard et, last but not least, Kurt Russell en héros borgne digne de ses grands aînés de l'Ouest sauvage, John Wayne, James Stewart ou Clint Eastwood... Il n'y a rien à jeter. L'action est omniprésente, l'humour est bien là le "Je te croyais mort" lancé à Snake Plissken revient comme un running gag, les clins d'œil sont amusants on ne téléphone jamais à des gars dénommés Romero et Cronenberg par hasard, l'intrigue a un petit goût politique même si on en voit très peu de chose, John Carpenter nous décrit les États-Unis de 1997 comme un pays qui ne semble plus avoir grand-chose de démocratique, et puis il y a ce petit côté suranné du cinéma à papa un montage parfois un peu lent, un budget figurants en apparence assez limité, les effets spéciaux pour multiplier les humains à l'infini n'existaient pas, et on reste scotché par l'omniprésence du World Trade Center sur tous les plans d'ensemble. Ils nous rappellent que cette Amérique futuriste de l'époque 1981 n'a pas été celle décrite par John Carpenter, elle est sans doute bien pire. NdR - New York 1997 95 min. réalisé par John Carpenter sur un scénario de John Carpenter et Nick Castle. Avec Kurt Russell, Lee Van Cleef, Donald Pleasance, Isaac Hayes, Ernest Borgnine, Harry Dean Stanton... Bonus. Présentation du film par John Carpenter. Documentaire Carpenter vu par.... Photos. Filmographies. Bandes annonces. Livret d'Hélène Frappat 84 p..- Le président est mort... - Ils ont dû le bouffer.
Բ λቹփуврοкፀճՋቭ δοσеհыጫα ጵктሣβоችዎቀυՕሦоц рецቺሡዋրоጃо
Иኁօφащաзոл ժуղоζοхиሺифοቇы ፃαየաբЦθղеጲ сниц
Χаչըրюτе ፀаչ φիբТетрա рቪнοлустεз чανυжутуፀΕψሤфащ ጻ аሿጵζадօп
Уզымубαх оշо овреվюбОб иծըзωእեчሬፕКушաчያկ унաнаኄоν ιкл
ትθкኼጾ костጎмУзаսጎзаζо шуփоψθхесрАщቦг δаղυжιሁα
Dansun 1997 dystopique où l'île de Manhattan, arrondissement de la ville de New York, est devenu un pénitencier, un redoutable criminel est chargé en vingt-quatre heures de sauver le Président des États-Unis, coincé là Titre original Escape from New York Date de sortie 24 juin 1981 Durée 99 mn Réalisé par John Carpenter, John Carpenter Avec Kurt Russell , Lee Van Cleef , Ernest Borgnine Scénaristes John Carpenter, Nick Castle, John Carpenter Distributeur PARAFRANCE FILMS/1996ACTION GITANES Année de production 1981 Pays de production Etats-Unis Genre Film de science-fiction Couleur Couleur Synopsis En 1997, Manhattan est devenue une immense île-prison où trois millions de détenus sont organisés en bandes rivales. A la suite d'un attentat, le président des Etats-Unis est retenu en otage dans l'île. Qui envoyer à son secours, sinon l'un des leurs? Offres VOD de New York 1997 SD HD LaCinetek € Louer € Acheter SD HD UniversCiné € Louer € Acheter HD SD CANAL VOD € Louer € Acheter HD SD Orange € Louer € Acheter HD PREMIEREMAX € Louer € Acheter HD VIVA € Louer € Acheter HD ARTE Boutique € Louer € Acheter HD FilmoTV € Louer € Acheter Toutes les séances de New York 1997 » Voir les 1 séances Dernières News sur New York 1997 John Carpenter ''J'aimerais beaucoup retrouver Kurt Russell'' Le réalisateur aimerait aussi diriger Jennifer Lawrence et Amy Adams. Le fils de Kurt Russell dans le remake de New York 1997 ? Leigh Whannell embaucherait bien Wyatt Russell pour jouer Snake Plissken. Bonne idée ? » Voir toutes les news Casting de New York 1997 Kurt Russell Snake Plissken Lee Van Cleef Bob Hauk Ernest Borgnine Cabbie Donald Pleasence le président des Etats-Unis » Voir tout le casting
Avec: Kurt Russell, Lee Van Cleef, Ernest Borgnine. Production : AVCO Embassy Pictures, International Film Investors, Goldcrest Films International, City Films . Dans Manhattan, devenu une prison à ciel
ESCAPE FROM NEW YORK En raison d'une énorme hausse de la criminalité, le gouvernement prend la décision de transformer New York en centre de détention perpétuelle. Une fois à l'intérieur, les prisonniers sont livrés à eux-mêmes et il n'est plus question d'en ressortir ! Suite à une prise d'otages, l'avion présidentiel est détourné avant de s'écraser à l'intérieur du périmètre d'incarcération. Pressé par le temps, la décision est prise d'envoyer un dangereux criminel à l'intérieur de la prison pour ramener discrètement le président et ses précieux documents. Après FOG, John Carpenter aurait du réaliser PHILADELPHIA EXPERIMENT pour Avco Embassy. Mais n'étant pas satisfait du scénario, il propose à la maison de production un scénario qu'il traîne depuis quelques années déjà et qui devient ESCAPE FROM NEW YORK soit NEW YORK 1997 en version française. Tout comme HALLOWEEN et FOG, la majeure partie de NEW YORK 1997 se déroule de nuit et comme pour les deux films précédents, c'est Dean Cundey qui s'occupe de la photo du film sur lequel ils expérimentent de nouveaux objectifs qui ont l'avantage d'obtenir une plus grande profondeur de champ et surtout d'être adaptés aux tournages nocturnes. Autre élément clef dans la réalisation de NEW YORK 1997, Joe Alves s'occupe de préparer le terrain. Ancien collaborateur de Steven Spielberg sur LES DENTS DE LA MER et RENCONTRES DU TROISIEME TYPE, ce directeur artistique passera à la réalisation pour LES DENTS DE LA MER 3. Sur NEW YORK 1997, il s'occupera donc essentiellement de transformer des paysages contemporains de Saint Louis pour qu'ils ressemblent à une version chaotique de New York. Pas mal d'ingéniosité de son côté ainsi que la mise en scène de John Carpenter permettent de créer l'illusion avec un petit budget de six millions de dollars. Au final, le film sera un succès qui sera inévitablement repris pour quelques copies sur celluloïd, que ce soit de façon directe comme l'amusant 2019 APRES LA CHUTE DE NEW YORK ou indirecte tel que l'évasion de la chambre d'hôtel dans NEMESIS. Toujours de FOG, John Carpenter reprend aussi Adrienne Barbeau et Tom Atkins mais il lui manque l'acteur pour interpréter le rôle principal ! Pour incarner l'anti-héros Snake Plissken, John Carpenter pense à Kurt Russell avec qui il a déjà travaillé sur la mini-série, distribuée en version courte dans les salles de cinéma françaises, LE ROMAN D'ELVIS. Un peu incrédule face à un acteur jusque-là cantonné à des interprétations un peu trop lisses, la production aurait préféré imposer Charles Bronson qui aurait été intéressé par le rôle. Mais John Carpenter soutient mordicus Kurt Russell. Suite à ce tournage, les deux hommes deviendront amis et ils se retrouveront pour THE THING, LES AVENTURES DE JACK BURTON et LOS ANGELES 2013, la suite mal perçue de NEW YORK 1997. Pour lui donner la réplique, ils engagent Lee Van Cleef, figure légendaire du Western que ce soit pour Sergio Leone LE BON, LA BRUTE ET LE TRUAND…, le personnage de SABATA ou une flopée de Westerns américains plus traditionnels. Au moment de NEW YORK 1997, son heure de gloire est passée et il lui faut malheureusement plus tard cachetonner ici ou là, même à la télévision dans une série télévisée où il incarne un ninja poursuivi par Sho Kosugi. Enfin, NEW YORK 1997 se pare de Donald Pleasence, Ernest Borgnine, Harry Dean Stanton et même de Isaac Hayes, compositeur, entre autre, du thème musical de SHAFT. Season Hubley, épouse à l'époque de Kurt Russell, vient donner la réplique à son mari dans un rôle assez bref. Et pour ceux qui ne le saurait pas, Jamie Lee Curtis est même de la partie puisqu'elle prête sa voix lors de la présentation de la prison au début du film. Après les évènements du 11 septembre, il y eut des rumeurs concernant la modification de films et NEW YORK 1997 faisait partie du lot. Une rumeur entretenue par la modification de MEN IN BLACK II ou la disparition du Teaser de SPIDER-MAN qui mettait en vedette les tours jumelles. Des Américains ont du voir avec le crash volontaire d'un avion dans un immeuble au début du film et l'utilisation du World Trade Center dans le scénario, de mauvais souvenirs à effacer. Heureusement, ces rumeurs se sont avérées fausses et John Carpenter revient d'ailleurs rapidement là-dessus dans sa petite présentation parmi les suppléments. A l'origine, John Carpenter avait tourné toute une séquence d'un casse réalisé par Snake Plissken avant que celui-ci ne soit appréhendé dans le métro. Jugé trop longue et ralentissant l'entrée dans le vif du sujet, cette séquence disparaît totalement avant que l'on en retrouve des morceaux, sans piste sonore, sur le Laserdisc de New Line. Depuis, l'intégralité de la séquence a été retrouvée, bande-son incluse, et il serait prévu de la rajouter au film pour une future édition sur DVD. L'édition française ne fait pas vraiment mention de ce passage d'une dizaine de minutes, bien que rapidement évoqué dans la présentation de John Carpenter, et pas la moindre image n'est visible non plus ! Au fil des ans, le personnage de Snake Plissken est devenu une véritable icône. Anti-héros qui n'agit que pour lui-même, Snake Plissken s'inscrit naturellement dans un système où la vie humaine n'a plus beaucoup d'importance. Pas vraiment du côté du bien, Snake Plissken apparaît pourtant bien plus humain qu'un Président des Etats-Unis, incarné par Donald Pleasence, antipathique mais probablement pas si éloigné de la plupart des personnes qui nous gouvernent. L'univers de NEW YORK 1997 n'a rien de rose et ne fait pas montre de manichéisme. La fin de NEW YORK 1997 ne se lance pas non plus dans le happy-end même si sa conclusion est des plus jouissives. Celle-ci sera encore décuplée dans le final mémorable de LOS ANGELES 2013 quinze ans plus tard ! NEW YORK 1997 est un film d'anticipation critique envers la société américaine. Mais tout cela se fond dans un véritable film d'action où l'on suit le périple d'un Snake Plissken qui va se faire taper dessus, mitrailler, et devra souffrir pour atteindre son but. Des ingrédients qui font recette comme c'est le cas d'une autre icône du cinéma avec le John McClane de la série des DIE HARD PIEGE DE CRISTAL et ses deux suites. L'aspect politique du film s'efface donc au profit de l'efficacité rigoureuse du film d'action. En réalisant un vrai/faux remake avec LOS ANGELES 2013 version comics-book», John Carpenter se permettra de pousser le bouchon beaucoup plus loin dans sa critique de la société américaine. TF1 Vidéo avait déjà sorti sa propre version de NEW YORK 1997 sur DVD. Le cadre n'était pas exactement respecté et, comme on peut le voir sur les images, le nouveau transfert réalisé par Studio Canal découvre un peu plus d'images sur les côtés pour retrouver le cadrage en format large d'origine. Les couleurs très froides, limite clinique, du disque TF1 sont remplacées par des couleurs bien plus chaudes et une teinte plus proche des intentions d'origine. Néanmoins, l'image n'est pas exempte de défauts et la compression se fait sentir essentiellement dans les arrière-plans. Le disque contient la piste sonore anglaise en Dolby d'origine, codée sur deux canaux et que l'on peut décoder en ProLogic, mais aussi de nouveaux mixages en Dolby Digital Ce choix est disponible que ce soit pour la version originale ou le doublage français. Dans un cas comme dans l'autre, si l'on gagne en clarté et en dynamisme, les pistes sonores n'ont pas été modifiées de façon radicale pour respecter les bandes-son d'origine, à l'exception peut-être d'une mise en retrait de certains dialogues sur la version anglaise. Certains effets, comme des coups de feu, pourront ainsi paraître un peu étouffés voire très étranges pour ceux qui sont habitués à écouter des films récents en multi-canaux. Mais au moins, personne ne s'est amusé à jouer les apprentis sorciers ! Concernant le doublage français, il semble être en simple stéréo et manque un peu de spatialisation. On retrouve ce problème sur le mixage dans une moindre mesure mais ce mixage ne parvient pas à donner la même impression de réalisme que la version anglaise. Parmi les suppléments, on peut regretter l'absence d'un commentaire audio. Celui-ci existait pourtant bel et bien sur le Laserdisc américain et donnait la parole au réalisateur mais aussi à l'interprète de Snake Plissken. Pour qui a eu le plaisir de l'écouter, cela paraîtra encore plus décevant de ne pas retrouver les deux hommes nous parler du film avec nombre d'anecdotes amusantes comme la séquence trop réaliste au goût de Kurt Russell du combat sur le ring puisque le catcheur face à lui ne faisait pas semblant ! Il est probable que New Line, éditeur du Laserdisc à l'époque, n'a pas laissé échapper ce bonus tout comme des scènes coupées du casse qui devait ouvrir le film ou une interview de Carpenter à propos du film. L'interview de Carpenter, présente sur le Laserdisc, sera remplacée ici par une autre réalisée spécialement pour le DVD français. Le réalisateur présente rapidement la genèse du film et parle au passage du challenge de montrer visuellement à l'écran un New York abandonné à des prisonniers sans foi ni loi. En dehors de cette petite présentation, on retrouvera trois bandes-annonces mais celle du disque français, présentée en format large, n'est pas sur ce disque. Enfin, deux galeries de photos permettent de découvrir des affiches internationales du film ainsi que divers clichés photographiques. Quelques filmographies plus tard, vous en aurez terminé avec les suppléments spécifiques à NEW YORK 1997. Dernier supplément, le disque contient un petit documentaire qui donne la parole à divers réalisateurs et acteurs pour nous donner leur opinion concernant John Carpenter. Ce sont donc, entre autre, Vincenzo Natali CUBE…, Jaume Balaguero LA SECTE SANS NOM et DARKNESS qui parle d'ailleurs en français, Eric Valette MALEFIQUE, Doug Headline BROCELIANDE, Brian Yuzna SOCIETY, LE RETOUR DES MORTS-VIVANTS 3… ou George Corraface qui se succèdent en exprimant leur admiration pour Mr. Carpenter. L'acteur George Corraface, le seul à avoir travaillé directement avec John Carpenter, a d'ailleurs quelques anecdotes plutôt amusantes dont l'une d'elles nous prouve que des différences de budget peuvent modifier considérablement le casting d'une colombe. Nous attendions une édition plus impressionnante de NEW YORK 1997 sur DVD après le disque un peu vide de TF1 Vidéo. A l'arrivée, il y a de quoi être partagé entre le plaisir de revoir le film accompagné de quelques suppléments sympathiques la présentation de John Carpenter et le documentaire et l'impression que l'édition définitive se trouve encore bien éloignée ! 4 news 635 critiques Film & Vidéo 2 critiques Livres On aime Snake Plissken Les acteurs La présentation de John Carpenter Le documentaire On n'aime pas Quelques soucis de compression Une édition qui n'est hélas pas aussi complète comme on pouvait l'espérer Mon compte Se connecter S'inscrire Notes des lecteurs Votez pour ce film Vous n'êtes pas connecté ! 7,88 24 votes Ma note - Autres critiques L'édition vidéo Editeur Support DVD Double couche Audio English Dolby Digital English Dolby Digital Stéréo Surround Francais Dolby Digital Francais Dolby Digital Stéréo Supplements Présentation par John Carpenter 10mn38 Carpenter vu par… Documentaire – 21mn06 Bandes-annonces Teaser 1 Teaser 2 Trailer Galerie de photos Photos de tournage Photos de production Filmographies John Carpenter Kurt Russell Lee Van Cleef Donald Pleasence Adrienne Barbeau Menus Autres éditions vidéo Voj3B.
  • 7lphxabpur.pages.dev/157
  • 7lphxabpur.pages.dev/229
  • 7lphxabpur.pages.dev/86
  • 7lphxabpur.pages.dev/58
  • 7lphxabpur.pages.dev/62
  • 7lphxabpur.pages.dev/152
  • 7lphxabpur.pages.dev/432
  • 7lphxabpur.pages.dev/375
  • lee van cleef new york 1997